Milan, 31 janv. (LaPresse) – "Ce jour marque un tournant ; désormais, il y aura toujours un ‘avant’ et un ‘après’ pour la Terre des feux. Plus personne ne pourra nier ce qui a été ignoré pendant tant d’années."
C'est ainsi que s'est exprimé Don Maurizio Patriciello, curé du Parco Verde de Caivano, dans une interview au Corriere della Sera à propos de la décision de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), qui a condamné l’Italie pour ne pas avoir pris de mesures pour protéger les citoyens de la soi-disant Terra dei Fuochi.
Le prêtre confie vivre ce moment "avec satisfaction mais sans joie. Je ne peux pas être heureux, personne ne le peut, car il y a eu trop de victimes des poisons de cette terre."
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