Milan, 6 mars (LaPresse) – « Il n'y a pas d'éléments techniques et scientifiques qui soutiennent l'hypothèse du suicide », mais les éléments recueillis « convergent pour décrire un scénario dans lequel seule une dynamique meurtrière », survenue par « asphyxie externe directe, trouve « une motivation technique ». C'est ce qu'écrivent dans leurs conclusions les consultants Cristina Cattaneo, Stefano Tambuzzi, Stefano Vanin et Biagio Eugenio Leone, dans l'expertise approfondie – que LaPresse a pu consulter – sur le corps de Liliana Resinovich, disparue à Trieste le 14 décembre 2021 et retrouvée sans vie le 5 janvier 2022, dans la zone de l'ancienne clinique psychiatrique de San Giovanni.