Rome, 21 juillet (LaPresse) – Une dose mortelle d'héroïne pourrait avoir tué Emanuela Ruggeri, la femme de 32 ans retrouvée morte hier soir à Rome, dans le quartier du Mandrione. Le téléphone portable de la jeune femme de 32 ans, qui a envoyé un SMS à sa mère le lendemain de sa disparition, est introuvable. Selon les résultats de l'enquête coordonnée par la substitut du procureur de la République de Rome, Giulia Guccione, qui a ouvert un dossier d'enquête avec l'hypothèse d'une mort consécutive à un autre délit, la jeune femme avait consommé de l'héroïne dans le passé. L'autopsie du corps de la jeune femme de 32 ans sera pratiquée aujourd'hui au centre médico-légal de la polyclinique de Tor Vergata. La femme était sortie de chez elle dans la soirée du 14 juillet pour retrouver une amie, mais depuis, elle avait disparu sans laisser de traces. Après les résultats de l'autopsie, l'enquête se concentrera sur les relevés téléphoniques et les images des caméras de vidéosurveillance de la zone.
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