Milan, 12 août (LaPresse) – L'ADN masculin inconnu trouvé dans la bouche de Chiara Poggi serait le résultat d'une « contamination involontaire » lors de l'autopsie du crime de Garlasco. Il s'est avéré « concordant » avec un cadavre qui avait été soumis à une « autopsie » dans un « laps de temps proche » de celle effectuée pour le meurtre du 13 août 2007. C'est ce qu'a annoncé le procureur de Pavie, Fabio Napoleone, dans une note rendant compte d'une expertise confiée aux professeurs et généticiens Carlo Previderè et Pierangela Grignani sur le « profil génétique » inconnu trouvé sur une « compresse » utilisée par le médecin légiste de l'époque et son équipe, le docteur Ballardini, pour prélever « du matériel biologique dans la bouche de la victime ».

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