Milan, 12 novembre (LaPresse) – « Je suis le premier à considérer que le débat doit être dénué de polémiques et de propos virulents, mais je tiens à préciser que mes déclarations n'étaient pas de nature personnelle, elles étaient politiques, liées à une accusation précise ». C'est ce qu'a déclaré en séance plénière le ministre de l'Éducation et du Mérite, Giuseppe Valditara, en demandant à intervenir à nouveau après la controverse suscitée par ses déclarations concernant le projet de loi sur le consentement éclairé dans le milieu scolaire. « Mes déclarations faisaient référence à celles qui accusaient le projet de loi de ne pas permettre la lutte contre les féminicides et la violence sexiste. De telles déclarations sont honteuses. Car le féminicide est un sujet d'une extrême gravité », a-t-il ajouté.

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