Rome, 16 mai (LaPresse) – « Nous sommes confrontés à une question ouverte depuis 2012. Personnellement, je pense que, pour sauvegarder une production stratégique pour notre pays, une intervention directe de l'État dans la gestion de cette entreprise est nécessaire, afin de garantir les investissements requis, notamment en matière de santé, de sécurité et de qualité du travail. » C’est ce qu’a déclaré le secrétaire général de la CGIL, Maurizio Landini, en marge d’une initiative sur les référendums à Milan.

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