Washington (États-Unis), 12 février (LaPresse) – Le président américain Donald Trump, s'exprimant depuis la Maison-Blanche où il a accueilli Marc Fogel à son retour de détention en Russie, a refusé de dire s'il avait discuté de son cas avec le président russe Vladimir Poutine.
Interrogé sur les termes de l'accord ayant permis la libération de Fogel, Trump a répondu : "Très équitables, très, très équitables, très raisonnables. Ce ne sont pas des accords comme ceux que nous avons vus ces dernières années. Ils étaient très équitables." L'ancien président n'a pas précisé ce que les États-Unis avaient offert en échange de la libération de Fogel.
De son côté, Fogel a salué le leader russe, le qualifiant de "très généreux et un homme d'État pour m'avoir accordé la grâce." Le conseiller à la sécurité nationale de Trump, Michael Waltz, a déclaré que les États-Unis et la Russie avaient "négocié un échange" sans préciser si Washington avait libéré quelqu'un en retour.
Waltz a estimé que cette évolution était "un signe que nous avançons dans la bonne direction pour mettre fin à la guerre brutale et terrible en Ukraine." Trump, républicain, a promis de trouver un moyen de mettre fin au conflit. L'actuel locataire de la Maison-Blanche a également affirmé entretenir de bonnes relations avec Poutine.
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