Milan, 4 décembre (LaPresse) – « Si l'Union européenne, prise de panique, tentait de s'emparer des avoirs russes gelés en Belgique en émettant un soi-disant prêt de réparation, ces actions pourraient être qualifiées par le droit international comme une forme particulière de casus belli, avec toutes les conséquences que cela impliquerait pour Bruxelles et pour les différents pays de l'UE ». C'est ce qu'a écrit sur les réseaux sociaux le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev. « Le remboursement de ces fonds pourrait alors se faire non pas par voie judiciaire, mais par le biais de réparations effectives payées en nature par les ennemis vaincus de la Russie », a-t-il ajouté.
© Copyright LaPresse

