Rome, 6 mars (LaPresse) – « ReArm Europe ? Un mauvais choix, à commencer par le nom. C'est le paradoxe européen : on ne pouvait pas investir un euro de plus dans la santé et l'éducation, alors que maintenant on peut dépenser 800 milliards pour la défense commune ? Si nous avions aujourd'hui une armée européenne, la France et l'Allemagne nous auraient déjà envoyés en guerre. L'Italie doit défendre ses intérêts, ne pas se laisser entraîner ». C'est ce qu'écrit sur les réseaux sociaux le vice-premier ministre et secrétaire de la Ligue Matteo Salvini.