Milan, 24 mars (LaPresse) – « Si le vice-président du Conseil appelle le vice-président des États-Unis, quel est le problème ? Il existe un plan d'investissement d'un billion de dollars dans les infrastructures aux États-Unis pour apporter, par exemple, le train à grande vitesse. Si nous amenons des entreprises italiennes à travailler aux États-Unis, je pense que nous faisons quelque chose d'utile ». C'est ce qu'a déclaré le vice-Premier ministre, ministre des Infrastructures et des Transports et chef de la Ligue, Matteo Salvini, à Bergame, en réponse à ceux qui lui demandaient si, en téléphonant au vice-président américain, J. D. Vance, il avait marché sur les pieds du ministre des Affaires étrangères, Antonio Tajani.