Rome, 26 juillet (LaPresse) – « Je l'ai dit à plusieurs reprises, y compris au Parlement. Je l'ai dit à l'autorité palestinienne elle-même et je l'ai dit aussi à Macron : je crois que la reconnaissance de l'État palestinien, sans qu'il y ait d'État palestinien, pourrait même être contre-productive pour l'objectif. Si quelque chose qui n'existe pas est reconnu sur le papier, le problème risque de sembler résolu, alors qu'il ne l'est pas ». C'est ce qu'a déclaré la présidente du Conseil, Giorgia Meloni, à Repubblica. « Ce que j'ai dit est la raison pour laquelle, bien que très favorable à l'État palestinien, je ne suis pas favorable à sa reconnaissance avant un processus de constitution », explique la Première ministre.