Rome, 5 août (LaPresse) – "Je suis stupéfait par les propos d’un président de l’ANM considéré, jusqu’à présent, comme équilibré. Je ne sais pas comment il peut se permettre de mentionner ma cheffe de cabinet, dont le nom, à ma connaissance, ne figure pas dans les documents officiels. Si ce n’est pas le cas, je devrais en conclure que Parodi a connaissance d’informations confidentielles. Quant à l’aspect politique, je considère ces déclarations, faites par un représentant éminent de l’ANM, comme une intrusion inappropriée et inacceptable dans les prérogatives institutionnelles", a déclaré le ministre de la Justice, Carlo Nordio, dans un communiqué.