Rome, 13 août (LaPresse) – « Ce qui s’est passé à Milan est inacceptable. Quatre mineurs, déjà connus pour des délits antérieurs, ont renversé et tué une femme innocente. Et que se passe-t-il ? Ils sont rendus aux mêmes familles qui, manifestement, n’ont pas su (ou voulu) les éduquer », a écrit sur les réseaux sociaux Roberto Vannacci, vice-secrétaire et eurodéputé de la Ligue.
« On ne peut pas continuer à détourner le regard par peur d’être accusés de “préjugés” », a-t-il ajouté. « La vérité, c’est qu’il existe des noyaux familiaux et des contextes sociaux où la criminalité est tolérée, voire encouragée. Dans ces cas-là, les services sociaux doivent agir avec fermeté, sans justifications ni peurs idéologiques : ces enfants doivent être retirés d’un environnement qui les condamne à reproduire les mêmes délits, et mis en condition de se construire un avenir différent. »
« Assez d’hypocrisie, assez d’angélisme. Ceux qui vivent en Italie doivent respecter les lois et assumer leurs responsabilités. Sinon, ils ne peuvent pas prétendre élever leurs enfants sans contrôle, au détriment de la sécurité de tous. »
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