Milan, 15 octobre (LaPresse) – « J'ai simplement dit et je confirme que je trouve étrange – et je n'accuse pas mon parti – qu'un gouverneur sortant qui bénéficie de plus de 70 % des suffrages parmi les Vénitiens, ce n'est pas moi qui le dis mais les sondages, se voie d'abord refuser sa candidature, puis refuser sa liste civique qui pourrait apporter beaucoup de suffrages au centre-droit et enfin se voir refuser la possibilité de mettre son nom sur le symbole. J'en prends note. Si je suis un problème, je vais m'efforcer de créer ce problème. Nous verrons ensuite comment ». C'est ce qu'a déclaré le président de la région de Vénétie, Luca Zaia, en marge de l'inauguration d'un nouvel équipement à l'hôpital de Trévise. À propos du lancement ce soir à Padoue de la campagne électorale d'Alberto Stefani, candidat du centre-droit en Vénétie, auquel participera également le leader de la Ligue Matteo Salvini, il a ajouté : « Ce soir, nous aurons une présentation, d'après ce que j'ai compris, il y aura au moins trois mille personnes présentes. On continue ».
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