Milan, 6 nov (LaPresse) – "Les images d'Almasri arrivant à l'aéroport en Libye déshonorent le drapeau tricolore. Nous avons pris un avion avec le drapeau italien, le drapeau de la justice et de la liberté, pour un tortionnaire et un violeur. Je pense qu'en la matière, Piantedosi a fait sa part. Le problème s'appelle Carlo Nordio, un ministre de la justice manifestement dans la confusion. Celui qui dit sur Garlasco qu'il faut se rendre, même face à une enquête faite avec ses pieds. Se rendre qui ? Les criminels doivent se rendre". Ainsi s'exprimait le leader d'Italia viva, Matteo Renzi, à Otto e mezzo sur La7.

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