Milan, 21 déc. (LaPresse) – « Les problèmes ont été résolus lors du sommet à Palazzo Chigi : rien à comparer avec ce qui se passe dans le reste de l’Europe et, plus généralement, en Occident. Le Fonds monétaire international a qualifié le gouvernement italien de ‘pilier de stabilité’ en Europe, avec des ‘résultats dépassant les prévisions’. Il n’était pas facile de concilier la rigueur nécessaire des finances publiques avec la croissance, le développement et l’équité sociale. Sous la direction de Giorgia Meloni, nous y sommes parvenus », déclare le ministre des Entreprises et du Made in Italy, Adolfo Urso, dans une interview à La Stampa.
« Notre objectif était de mettre en œuvre le nouveau plan Transition 5.0 dans les plus brefs délais et de le rendre structurel et durable dans le temps. Et nous y sommes parvenus. » Concernant les résultats obtenus à Bruxelles sur les contraintes du Green Deal et les CBAM liés aux émissions de carbone, Urso a déclaré : « Nous avons formé une alliance avec l’Allemagne qui nous permet d’avoir la majorité au Conseil, et il en est de même au Parlement européen parmi les Populaires et les Conservateurs, déjà reflété dans le premier paquet Omnibus sur les simplifications, la déforestation et la diligence raisonnable des entreprises. »