Rome, 22 décembre (LaPresse) – « L'objection fondamentale que j'ai entendue au cours du débat est l'accusation portée contre le gouvernement de mettre en œuvre une politique d'austérité. Je traduis cette politique d'austérité par le terme de prudence ». C'est ce qu'a déclaré le ministre de l'Économie Giancarlo Giorgetti dans ses répliques à l'issue de la discussion générale au Sénat sur la manœuvre. « Je pense que la réforme de la prévoyance complémentaire que nous avons courageusement abordée est un sujet incontournable et une étape qui restera dans l'histoire », a-t-il ajouté. « Sans le deuxième pilier, les retraites dans un avenir lointain ne seront pas en mesure de garantir des pensions dignes. C'est donc un choix qui, à long terme, sera très bénéfique, en particulier pour les jeunes, et je le revendique », a-t-il conclu.
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