Rome, 15 avril (LaPresse) – « J'aimerais beaucoup que ma musique ait la possibilité de se confronter au monde. La langue nous limite malheureusement. Lorsque j'ai été confronté à de grands artistes internationaux, ils ont été stupéfaits, beaucoup m'écrivent pour me dire que je suis le « cheval fou » européen. Si j'aimerais chanter en anglais ? Bien sûr, peut-être en commençant par une chanson. Le fait d'être italiens, le standing, la mode, on ne nous en parle pas à l'étranger. Peut-être que le seul défaut de l'Italie est que nous n'avons pas été très bons pour nous vendre. Nous sommes les grands visionnaires, penseurs, écrivains ». C'est ce qu'a déclaré Achille Lauro lors de la conférence de presse de présentation de son nouvel album « Comuni Mortali ».