Milan, 5 fév. (LaPresse) – "Dans ce moment si beau, je laisse les potins à ceux qui n'ont que cela pour exister. Heureusement, je vis encore dans le monde des rêves et des grands rêveurs. Je ne suis pas les potins, je ne les aime pas, cela ne m’appartient pas."
C’est ainsi qu’Achille Lauro a répondu lors d'une conférence de presse à Milan, en amont de sa participation au Festival de Sanremo, à une question sur l’affaire Fedez et Ferragni.
"On parle beaucoup de violence contre les femmes, et il faut se rendre compte que ce n'est pas si différent," a ajouté le chanteur romain.
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