Rome, 22 sept. (LaPresse) – « Tel que ce délit est défini, il a fallu trois ans pour renvoyer l’affaire d’un procureur à un juge, et la situation est toujours en cours. » C’est ce qu’a déclaré à LaPresse Emanuela Maccarani, ancienne directrice technique de l’équipe nationale de gymnastique rythmique, renvoyée aujourd’hui en jugement à Monza pour maltraitance aggravée en présence de mineurs. « Également, en raison de la configuration juridique de ce délit, les mémoires de la défense n’ont pas été prises en compte. Donc, la seule solution était d’aller au procès, où peut-être (enfin) ces contradictions, largement expliquées durant ces procédures, seront prises en considération. »